Enfants placés, pupilles de l’État, nombre d’infanticides : l’Observatoire national de la protection de l’enfance (ONPE) a publié en février une note d’actualité avec les dernières statistiques.
L'angoisse liée à l'épidémie de Coronavirus ne concerne pas que les adultes : les enfants sont les premières victimes de ces peurs. Il est essentiel de leur parler pour leur expliquer ce qui se passe, les rassurer et les protéger.
Afin de faire barrage à la propagation du virus, les professionnels de la petite enfance sont tenus de respecter les gestes de prévention. Des indemnités sont également prévues en cas d’arrêt de travail dans le cadre de l’épidémie.
Un arrêté publié au Journal officiel du 29 février 2020 revalorise le montant maximal des indemnités kilométriques des assistantes maternelles employées par des particuliers.
Recentrage des prestations vers les familles modestes, croissance faible pour le CMG mais plus élevée pour les crèches : en cinq ans les dépenses au titre de la politique familiale sont restées stables, selon un document publié aujourd’hui par la DREES.
Une exposition fréquente à des produits ménagers courants pendant les trois premiers mois de la vie – notamment ceux sous forme de pulvérisateur et/ou très parfumés - peut augmenter le risque d'un enfant de développer de l'asthme plus tard. C’est ce que révèle une récente étude canadienne.
Le secrétaire d’État Adrien Taquet ouvrira la première séance demain à Paris de ce volet inscrit dans la Stratégie nationale de prévention et de protection de l’enfance.
Maîtrise du français lu, inscription dans un registre dédié : le projet d’ordonnance en cours d’élaboration prévoit d’encadrer l’administration des médicaments par les professionnels de la petite enfance.
La Direction générale de la cohésion sociale a adressé aux partenaires de la concertation sur la réforme des modes d’accueil le projet portant sur l’accompagnement en santé, fraîchement accueilli par l’UFNAFAAM.
Une récente étude dispense de précieuses informations sur le temps moyen de sommeil et d’endormissement des bébés de trois mois à deux ans. L’occasion de rassurer certains parents et professionnels, mais aussi de donner quelques pistes pour détecter les cas problématiques.