A l’appel de plusieurs syndicats, les professionnelles de la petite enfance et de la protection de l’enfance, oubliées du Ségur, sont invitées à rejoindre les cortèges.
Dans un courrier adressé à la secrétaire d’État Charlotte Caubel lundi, la fédération alerte sur l’application aléatoire du décret modifiant la rémunération des professionnels.
En cas de maladie, d’incapacité, d’hospitalisation, voire de décès ou d’invalidité,
les salariés sont couverts par le régime de base de la Sécurité Sociale. Mais ces
prestations ne sont pas toujours suffisantes. C’est là qu’intervient la prévoyance
collective obligatoire, voulue, négociée et mise en place par les partenaires
sociaux au niveau de la branche professionnelle et financée par les cotisations du
salarié et son employeur.
Le SNPPE appelle à débrayer le 2 février dans le cadre d’une mobilisation du secteur social et médico-social, les grandes centrales invitent à une première journée de grève et de rassemblements le 19 janvier contre le projet de réforme des retraites.
Un arrêté approuvant la convention constitutive de cette nouvelle instance de gouvernance, qui gérera la base nationale des agréments, est paru hier au Journal officiel.
Évolution des familles, nouvelles parentalités : pour le sociologue Gérard Neyrand, ces transformations sociales percutent directement le placement familial et produisent toujours des injonctions paradoxales.
Une proposition de loi du sénateur Xavier Iacovelli visant la création d'une délégation aux droits des enfants dans chaque assemblée, soutenue par les défenseurs de l’enfance, mais pas par la commission des lois, sera examinée jeudi 8 décembre en séance publique.