A l’appel de plusieurs syndicats, les professionnelles de la petite enfance et de la protection de l’enfance, oubliées du Ségur, sont invitées à rejoindre les cortèges.
À la suite des négociations de branche, le salaire minimum horaire des assistantes maternelles employées par des particuliers devrait prochainement passer à 3,26 euros bruts, avant une seconde revalorisation attendue à 3,36 euros.
La principale fédération représentant les assistantes maternelles critique fortement les missions d’accompagnement des Relais petite enfance confiées à la fédération des parents employeurs par les Caisses d’allocations familiales.
Depuis novembre 2018, les assistantes maternelles – en particulier du Grand-Est – se voient proposer une soirée théâtrale inédite en son genre. « Nounou, est-ce que parfois tu Rames » est une pièce interactive qui présente, en une série de saynètes humoristiques, le quotidien de la profession.
Une étude publiée jeudi recommande de mettre progressivement fin à l’accueil individuel à domicile afin de résoudre les difficultés d’attractivité du secteur.
Depuis 2021, la Communauté de Communes des Terres du Val de Loire (CCTVL) se mobilise pour pallier le déficit croissant en assistantes maternelles. Prochaine étape, mi-février : le lancement d’une grande campagne de communication multicanale, visant à stimuler toutes les bonnes volontés, sur le territoire et au-delà.
La loi de financement de la sécurité sociale pour 2023 intègre une réforme du complément
de libre choix du mode de garde (CMG) afin d’harmoniser les restes à charge
entre l’accueil par une assistante maternelle et l’accueil en crèche.
Le repas est un moment-phare de la journée, qui rime souvent aussi avec casse-tête organisationnel : quand et comment se mettre aux fourneaux ? Comment gérer la prise en charge d’enfants d’âges et de besoins différents ? Deux maîtres-mots : anticipation et organisation.
Dans un courrier adressé à la secrétaire d’État Charlotte Caubel lundi, la fédération alerte sur l’application aléatoire du décret modifiant la rémunération des professionnels.
En cas de maladie, d’incapacité, d’hospitalisation, voire de décès ou d’invalidité,
les salariés sont couverts par le régime de base de la Sécurité Sociale. Mais ces
prestations ne sont pas toujours suffisantes. C’est là qu’intervient la prévoyance
collective obligatoire, voulue, négociée et mise en place par les partenaires
sociaux au niveau de la branche professionnelle et financée par les cotisations du
salarié et son employeur.