Protection de l’enfance : le projet de loi critiqué pour son « manque d’ambition »
Le projet de loi relatif à la protection des enfants était présenté aujourd’hui devant le Conseil des ministres.
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Repas sur fond de télévision, appauvrissement du langage des enfants
Le fait que la télévision soit allumée en permanence au moment des repas familiaux est corrélé avec un plus faible développement du langage. C’est ce qu’il ressort d’une récente étude de l’Inserm.
Complément mode de garde : l’alerte des organisations représentatives
Une réforme du Cmg pour faire baisser le reste-à-charge des familles modestes est à l’étude. L’Ufnafaam et l’Anraram appellent le gouvernement à « sauver les assistantes maternelles ».
Protection sociale des assistantes maternelles : la loi promulguée
Elle vise à créer un circuit unique de recouvrement des cotisations sociales.
Assistants familiaux : l’Ufnafaam interpelle le gouvernement
Le projet de loi sur la protection de l’enfance comprend la possibilité d'introduction d'une clause d’exclusivité dans le contrat de travail pour interdire le cumul d’employeurs.
« Le lien privilégié avec une assistante familiale est déterminant »
Une recherche-action soutenue par l’Observatoire national de la protection de l’enfance (ONPE) met en lumière les facteurs de rupture de parcours en protection de l’enfance, comme les conditions du premier accueil et les maltraitances sexuelles.
Elections départementales : le collectif Cause Majeur se mobilise
Fin des sorties sèches et droit au retour : le collectif invite électeurs et candidats à promouvoir l’accompagnement des jeunes majeurs
Un nouveau projet de loi pour la protection de l’enfance
Présenté en Conseil des ministres d'ici le 16 juin, il devrait être examiné début juillet en première lecture à l'Assemblée nationale.
La lumière bleue bientôt interdite dans les jouets pour les moins de dix ans
A partir de 2022, tous les jouets à destination des moins de dix ans produisant de la lumière bleue, susceptible de provoquer troubles de la vue et du sommeil, seront interdits.
La pandémie entraînerait une extension de la « crise des deux ans » jusqu’à huit ans
Les phases de colères et d’oppositions systématiques généralement observées chez les tout-petits autour de deux ans se retrouvent chez des enfants jusqu’à huit ans, du fait du stress occasionné par la pandémie.