Le gouvernement annonce à L'assmat la reconduction du dispositif de chômage partiel mis en place depuis le 27 mars pour faire face à la baisse d'activité
Dans un avis publié le 26 mai, la Commission nationale consultative des droits de l’homme émet 29 recommandations face aux carences de la protection de l’enfance et constate le manque de considération envers les assistants familiaux.
Le manque d’accompagnement des PMI et l’hétérogénéité de leur action envers les professionnelles ont été mis en lumière pendant le confinement. Hier lors d’une réunion avec la DGCS l’ouverture de travaux sur le sujet a été évoquée.
Après un confinement très difficile pour les enfants en proie aux violences intrafamiliales, le secrétaire communique beaucoup et annonce, entre autres, la reprise de la réforme du statut des assistants familiaux.
La fédération a été saisie par de nombreuses assistantes maternelles qui déclarent attendre leurs versements liés à leurs arrêts de travail pendant la crise sanitaire.
Le collectif Cause Majeur ! demande la pérennisation de l’obligation d’accompagnement des jeunes majeurs au-delà de l’état d’urgence sanitaire. Une mesure qui se heurte depuis toujours à de fortes résistances.
Dans un document publié le 6 mai, l’Observatoire national de la protection de l’enfance (ONPE) diffuse un premier bilan de la gestion du confinement dans le secteur, établi à partir de témoignages de directeurs enfance famille de 14 départements.
Le gouvernement fournit un guide, les départements fournissent le leur. Sans surprise, le cafouillage sur les règles à suivre se poursuit pour les assistantes maternelles.
Dans le sillage des soignants et personnels d’EHPAD, syndicats de salariés et Fepem souhaitent une reconnaissance financière pour les salariés du particulier employeur.
Quelques heures après le début du déconfinement, le ministère des Solidarités et de la Santé publie un guide des recommandations pour les professionnels de la protection de l'enfance.