Dans une étude publiée le 26 septembre, l’association de consommateurs étrille le pilotage des modes d’accueil par les pouvoirs publics et demande un « choc de simplification ».
Selon le rapport annuel du secteur des particuliers employeurs publié début juin, les départs à la retraite ont constitué le principal motif de sortie de la profession en 2021, pour 93 % des assistantes maternelles.
Sur le modèle des crèches à vocation d’insertion professionnelle (AVIP), plusieurs types d’accueil individuel, notamment de type maisons d’assistantes maternelles (MAM), s’organisent pour proposer une offre de garde à des familles en situation d’insertion.
Dans un rapport qui doit être soumis au vote aujourd’hui, le HCFEA propose d’assouplir le statut de salariée du particulier employeur, via des organismes prestataires ou le travail indépendant : des mesures censées renforcer l’accueil individuel qui inquiètent les acteurs de la branche.
Alors que le flou règne quant aux ambitions du gouvernement pour la petite enfance, les acteurs commencent à placer leurs pions pour la prochaine négociation entre l’État et la Cnaf, où les assistantes maternelles tentent de se faire entendre.
L’ANRAMAM et l’UFNAFAAM soumettent une dizaine de propositions aux candidats pour maintenir le nombre de professionnelles en exercice et reconnaître la place essentielle du premier mode d’accueil français.
Baisse du nombre de professionnelles, recours à l’accueil individuel, effets de la crise sanitaire : l’analyse chiffrée du rapport annuel de l’Observatoire national de la petite enfance (Onape).