Dans la revue Informations sociales, chercheurs et experts explorent l’impact des politiques familiales sur la natalité : la question des modes d’accueil y apparait centrale.
Signé lundi, le document fixe les grandes orientations de la branche Famille pour les quatre prochaines années, dans un contexte de pénurie de professionnels et de création d’un service public de la petite enfance.
Leurs nombreuses tâches réalisées à l’ombre du domicile exposent les assistantes maternelles à des risques pour leur santé, mais demeurent peu reconnues.
Une comparaison de la gouvernance de la petite enfance entre la France et l’Allemagne pendant la crise sanitaire montre une centralisation accrue dans l’hexagone, à l’heure où certaines acteurs préconisent de renforcer le rôle des communes.
Selon un bilan interne de la Cnaf, de nouvelles modalités de financement ont fait chuter le nombre de créations de RPE. Pour les MAM l’accès au plan crèches a permis de financer 77 projets.
La moitié des mères de jeunes enfants qui travaillent en horaires décalés ou variables sur une durée hebdomadaire importante déclarent avoir des difficultés à concilier vie familiale et professionnelle.
Selon la lettre de l’Observatoire national de la petite enfance (ONAPE) publiée en décembre 2022, le nombre de places en accueil individuel a baissé de 33 800, entre 2019 et 2020, et la profession montre des signes de transformation.
Assistantes maternelles salariées par les communes, restes à charge équivalents entre accueil individuel et collectif : une étude comparative publiée par la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) permet de mieux situer les enjeux de la France sur le sujet.
Le Conseil d’administration de la CNAF a voté hier une hausse de 2 % de la Prestation de service unique. Concernant l’accueil individuel, le ministre des Solidarités promet un alignement des restes-à-charge, sans autre précision.