Les associations représentatives de l’accueil du jeune enfant avaient jusqu’au 15 juillet pour envoyer leur contribution à la DGCS. Gros plan sur leurs propositions pour l’accueil individuel.
Les trois associations représentatives des assistantes maternelles ayant participé à la concertation sont, malgré quelques bémols, plutôt satisfaites des propositions de la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS).
Les associations et syndicats représentatifs restent circonspects quant au rôle accru des Relais d’assistantes maternelles (RAM) préconisé par le HCFEA, notamment dans la formation continue.
Dans l’attente des décisions du gouvernement sur la réforme des modes d’accueil, le Collectif pas de bébé à la consigne appelle à la vigilance. Mais les avis divergent sur les Maisons d’assistantes maternelles (MAM).
À la suite de la loi du 10 août 2018 qui autorise le gouvernement à légiférer par ordonnance pour l’implantation des modes d’accueil, la concertation engagée par la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) s’est intensifiée autour du statut des MAM.
Sans surprise, la Convention d’objectifs et de gestion (COG) signée le 19 juillet 2018 entre l’État et la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) déçoit fortement les représentants de l’accueil individuel.
Les précisions données hier par le gouvernement après l’annonce de ce report pour les particuliers employeurs et leurs salariés ne rassurent pas la profession.
Le premier baromètre de la qualité de vie au travail des assistantes maternelles, lancé par le SUPNAFAAM-UNSA, avec l’ANAMAAF et l’UNSA-FESSAD montre un taux élevé de satisfaction professionnelle.