Après l’annonce par la Cnaf de la création de financement supplémentaire pour la rémunération des personnels de crèches, le CNAMCF et le SNPPE expriment leur déception.
La candidature du jeune syndicat professionnel à l’élection TPE 2024 a été déclarée recevable par la direction générale du travail dans plusieurs branches, dont celle des particuliers employeurs et emploi à domicile.
Quatre organisations représentatives du secteur, dont l’Ufnafaam et le SNPPE, se positionnent contre le projet du gouvernement visant à permettre aux RPE de s’occuper des contrats entre parents employeurs et assistantes maternelles.
Si le gouvernement ne prend pas rapidement des mesures pour l’accueil du jeune enfant, le collectif Pas de bébés à la consigne appellera à la mobilisation le 6 juin prochain.
Constatant la « souffrance » du secteur, confirmée par le rapport de l’IGAS, l’organisation veut permettre aux professionnels de se mobiliser davantage en limitant l’impact financier.
Après avoir appelé à battre le pavé hier, le SNPPE sonne l’alarme face à de multiples « situations alarmantes » et la CGT poursuit la mobilisation pour une meilleure retraites des femmes.
Le SNPPE a appelé hier à une journée d’action pour l’ensemble du secteur et la CGT Assmat demande l’ouverture de négociations de branche pour augmenter les minima des assistantes maternelles.
L’Unsa Proassmat soutient la grève pour le pouvoir d’achat des salariés demain et le SNPPE appelle à débrayer le 31 mars pour la reconnaissance des professionnels.
Dans sa note destinée à abonder les travaux du CESE sur le service public de la petite enfance, le jeune syndicat plaide pour un financement unique pour l’ensemble du secteur.