Le recul de la fécondité est certes moins important qu’en 2023, mais il nait 21,5 % de bébés en moins par rapport à 2010, avec des conséquences sur l’offre d’accueil.
Les chiffres 2024 indiquent une baisse des naissances de -2,7 % en France jusqu’en septembre, un rythme moins soutenu qu’en 2023 (-6,6%), année de chute historique depuis la fin du baby-boom.
Dans la revue Informations sociales, chercheurs et experts explorent l’impact des politiques familiales sur la natalité : la question des modes d’accueil y apparait centrale.
Avec 48 000 naissances en moins en 2023 par rapport à 2022, la pression baisse sur le secteur de l’accueil individuel et collectif, en proie au vieillissement et à la pénurie de professionnels.
L’impact de la crise sanitaire sur la natalité se confirme avec les derniers chiffres publiés par l’Insee. Des données à observer de près pour anticiper l’impact sur l’offre d’accueil du jeune enfant.
Le bilan démographique de l’INSEE pour 2020 fait état d’une baisse inédite de la natalité en France. En cause, les répercussions de la crise sanitaire sur les plans économique et psychologique notamment. Avec, en ligne de fond, pour la profession, des conséquences négatives à craindre sur l'employabilité…
Selon une étude publiée par l’Union nationale des associations familiales vendredi, le manque de solutions d’accueil et les coupes dans les prestations familiales freinent la natalité en France.