La situation très fragile de ces structures appelle à un sursaut du gouvernement, toujours immobile malgré la mobilisation de plusieurs acteurs pour sauver ce mode d’accueil.
Le service public de la petite enfance (SPPE), amené à se déployer progressivement, est officiellement créé depuis le 1er janvier. Mais le contexte n’est pas propice : instabilité ministérielle, décrets en attente et pénurie de professionnels.
Le salarié ou l’employeur qui prend l’initiative de la rupture du contrat de travail, après l’issue de la période d’essai, est redevable à l’autre d’un préavis.
Bien accueillir un nouvel enfant représente chaque fois un défi, tant pour les assistantes maternelles ou familiales que pour les familles. Chaque arrivée nécessite une préparation minutieuse devant associer toutes les parties prenantes : l’enfant et ses parents, mais aussi les enfants déjà accueillis et leur famille.
Le recul de la fécondité est certes moins important qu’en 2023, mais il nait 21,5 % de bébés en moins par rapport à 2010, avec des conséquences sur l’offre d’accueil.
Les ateliers pédagogiques et ludiques, proposés par des intervenants externes, sont un vrai plus pour les maisons d’assistantes maternelles (MAM). Une offre qui va de pair avec la nécessité de trouver des personnes, cadrer les modalités de la prestation et la financer.
Les plafonds de ressources des prestations familiales - dont le complément de libre choix du mode de garde - sont revalorisés de 4,8 % au 1er janvier 2025.
En cette fin d’année propice aux cadeaux et à la lecture, la rédaction de L’assmat vous propose un choix d’ouvrages pouvant nourrir vos réflexions professionnelles.