Le décret levant l’obligation du port du masque dans les lieux d’accueil du jeune enfant a été publié hier au Journal officiel, mais le protocole sanitaire n’a pas encore été actualisé.
Dans le cadre de son autosaisine sur les métiers de la cohésion sociale, l’instance qui conseille le gouvernement et le parlement invite les professionnels à s’exprimer en ligne.
Cinq organisations ont adressé un courrier à la présidente du Comité de filière petite enfance jeudi afin d’obtenir la prime mensuelle de 183 euros pour des professionnelles « à bout de souffle ».
Une note statistique publiée hier par l’Observatoire national de la protection de l’enfance montre que l’hébergement chez les assistants familiaux a fortement chuté depuis 10 ans.
Une synthèse des études internationales publiée par la CNAF montre que les deux spécificités françaises, la primauté de l’accueil individuel et l’inégalité d’accès aux modes d’accueil, sont absentes des recherches scientifiques.
Une consultation auprès des professionnelles lancée par l’Unsa Proassmat montre qu’elles souhaitent sécuriser leur exercice et être mieux prise en compte dans les politiques publiques.
Une proposition de loi déposée le 22 février à l’Assemblée nationale vise à lutter contre le « mal du siècle » dès la prime enfance, en s’appuyant sur les professionnels de la petite enfance.
L’ANRAMAM et l’UFNAFAAM soumettent une dizaine de propositions aux candidats pour maintenir le nombre de professionnelles en exercice et reconnaître la place essentielle du premier mode d’accueil français.
Dans sa note destinée à abonder les travaux du CESE sur le service public de la petite enfance, le jeune syndicat plaide pour un financement unique pour l’ensemble du secteur.